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30 août 2018

Sur le tournage de… La ville de Saint-Georges-de-Mons

Le film institutionnel : Exercice de style.

C’est dans la petite ville de Saint-George-de-Mons, commune auvergnate juchée entre Sioule et Combrailles, que nous avons posé nos caméras en mai 2018. En effet, la commune souhaitait mettre en avant son dynamisme et son modernisme (on capte la 4G!), et ce malgré son caractère enclavé. Nombreux sont les clichés menant la vie dure à ces petites communes. Pourtant, Saint-Georges-de-Mons regorge de vie, en témoigne le panel varié des activités sportives proposées.

Ainsi, après un appel à projet de la ville, Hmwk et Blanche ont répondu en Janvier 2018. Nous avons donc été sollicités par la ville pour prendre en charge la réalisation de cette vidéo. S’ensuivirent alors des réunions d’organisation avec le bureau du Maire et notre équipe (Vivi, Adeline, Gladoche, Lala) pour mettre en place les dates de tournage, et les conditions.

Car oui, le film institutionnel est un exercice de style, comme une dissertation au lycée, vous êtes régis par des consignes. Nos consignes étaient simple cependant, il s’agissait en effet de faire la promotion du sport, et montrer Saint-Georges-de-Mons comme une ville mouvante et dynamique.

Une équipe d’athlètes

Vivi : Réalisateur ; champion du monde de 100 mètre en cadrage libre.

Adeline : Production ; en compétition pour l’or olympique en tri de paperasse.

Lala : Assistante-réalisation ; championne olympique de rando/port de matériel.

Gladoche : Production ; championne de France en tri de paperasse stagiaire.

Titi : Stagiaire sympa. Assistant-réalistion, technique ; médaille de bronze en gélates et éclairage.

Un tournage Sport

Bien que l’équipe soit jeune et en forme (pour la plupart), le rythme s’annonçait soutenu. Il fallait donc échauffer nos petits muscles. En effet, nous filmions du sport. Cela impliquait donc de courir, esquiver les ballons perdus, nager et plonger, et autres joyeusetés. Mention toute particulière à notre Vivi national qui s’est fait les bras et les mollets avec le Ronin, pendant un cours d’athlétisme. HMWK, mieux que votre salle de sport. Fort heureusement, les prises de vue aérienne au drone on permis à notre réalisateur de reposer ses bras quelques minutes.

De plus, nous étions confronté à une autre contrainte, celle de l’horaire, en effet ce n’était pas le cours qui s’adaptait à nous, mais nous qui suivions les horaires, et ce, sur très peu de jours de tournage. Ainsi, tout était question d’organisation. Par exemple quand nous arrivions sur un lieu de tournage, nous optimisions le temps. Pendant que Vivi et Titi mettaient en place le matériel nécessaire, Adeline elle s’occupait des questions administratives, à tournage, rime droit à l’image. En effet, surtout sur ce genre de vidéo, la vidéo institutionnelle, il est nécessaire de posséder toute les autorisations pour faire nos prises de vue.

De plus, nous étions confronté à une autre contrainte, celle de l’horaire, en effet ce n’était pas le cours qui s’adaptait à nous, mais nous qui suivions les horaires, et ce, sur très peu de jours de tournage. Ainsi, tout était question d’organisation. Par exemple quand nous arrivions sur un lieu de tournage, nous optimisions le temps. Pendant que Vivi et Titi mettaient en place le matériel nécessaire, Adeline elle s’occupait des questions administratives, à tournage, rime droit à l’image. En effet, surtout sur ce genre de vidéo, la vidéo institutionnelle, il est nécessaire de posséder toute les autorisations pour faire nos prises de vue.

Aussi, la multiplicité des lieux de tournage nous obligeait encore une fois à faire preuve d’organisation. ranger le matériel qui ne servait plus pendant que le réalisateur/cadreur filmait ses dernières scènes. Anticiper les problèmes et les situations, comme filmer avec des enfants, ou des gens un peu impressionnés par les caméras.

Enfin, la météo à été une de nos plus grosses angoisses. En effet durant tout le tournage, elle était assez incertaine. Nous alternions des prises de vue intérieures et extérieures. Aussi nous avons eu de la chance, nous sommes passés entre les gouttes. Mais encore une fois ils fallait anticiper, notamment la protection du matériel, qui n’est pas vraiment waterproof.

En parlant de waterproof, nous avons dû filmer des scènes sous l’eau, une première très angoissante, mais qui heureusement, ne s’est pas soldée par un échec. Nous avons donc utilisé une pochette étanche spécialement pour la caméra, mais nous avons réaliser beaucoup de séquences aquatiques avec une GoPro.

En somme, c’était un tournage reposant comme on les aime, avec en prime, l’accès au toboggan aquatique qui a su nous relaxer après une dure journée de travail.

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